À toi qui es passée par une séparation, dis-moi qu’un jour, ça passera.
Dis-moi qu’un jour, je vais arrêter de mettre la télévision en bruit de fond pour qu’elle remplace le bruit des rires et des cris de mes enfants afin que le silence ne s’invite pas chez moi. Je voudrais les entendre se chamailler tous les jours à sept heures du matin parce qu’ils n’ont pas trouvé de consensus sur l’émission à regarder. Je voudrais les entendre dire « maman » cent fois par jour jusqu’à ce que la simple prononciation de ce mot par une de leur bouche m’agace au plus haut point.
Dis-moi qu’un jour, je serai capable de profiter du temps seule pour relaxer, que je vais arrêter de culpabiliser ou de faire du ménage pour ne pas regarder le temps s’écouler. J’aimerais tant les voir positivement, ces moments de solitude, et me dire que c’est pendant ce temps que je recharge mes batteries pour être une meilleure mère lorsque mes petits sont avec moi. Je pourrais renouer avec des passe-temps pour le plaisir de le faire et non pas juste pour tuer le temps qui passe trop lentement. Je veux arrêter de compter le nombre de dodos avant qu’ils ne reviennent.
Dis-moi qu’un jour, je vais pouvoir fêter Noël ou le Jour de l’an sans avoir le cœur gros que mes enfants ne soient pas avec moi. Je rêve de pouvoir danser, rire, m’amuser et me dire avec le sourire aux lèvres, qu’ils sont probablement en train de faire la même chose chez papa et que même séparés, si tout le monde est heureux, c’est la seule chose qui compte. J’espère un jour être capable d’envisager fêter Noël un vingt-quatre décembre même si ça n’a jamais fait partie de mes traditions et ne pas avoir mal au cœur de les quitter le lendemain matin parce que c’est cela que stipule le contrat de médiation.
Dis-moi qu’un jour, je vais arrêter d’avoir le sentiment de manquer la moitié de leur vie et de manquer une multitude de moments importants. Être impliquée dans chacun de leurs petits bonheurs quotidiens me manque tellement. J’aurais tant souhaité qu’ils puissent continuer de me raconter chacune de leur journée avec leurs yeux émerveillés. J’aurais tant souhaité être toujours là quand ils sont malades parce qu’un simple appel téléphonique ne réussit pas à soulager mon cœur de mère inquiète.
Rappelle-moi à quel point j’étais malheureuse dans mon ancienne vie pour me convaincre que ça vaut la peine d’endurer tout ça et dis-moi qu’un jour, tout ça passera.
Ouf… je te connais toi. Tu as été ma photographe pour mes deux premiers bébés. Nous en avons eu trois en tout finalement… trois petits amours… Et nous sommes séparés depuis maintenant deux ans. Et ça fait mal encore. Chaque mot que tu as écrit me touche et me rejoint… mais ça va mieux avec le temps.
Bisou Karine
Oui, je me souviens Karine ! J’espère que tu vas bien malgré tout ! Ici, je viens de faire ma première année complète. En gros, ça va bien, mais il y a encore quelques montagnes russes 😉
Rox xx
Oh mon dieux !!! Je pense que tout les mamans séparer aurait pu écrire se texte. Il décrit très bien comment je me sent. J’ai hâte de voir le positif dans cette situation.
Ça fait deux ans pour moi et c’est toujours difficile. Moins souffrant, mais difficile.
Je te dirais que tout le temps arrange les choses ! Mais tout comme toi sa ma dechire le coeur au 7 jours
Mais sa replace et regarde la femme que tu es pour te recentrer sur la femme et non juste la mère
Ca fait 4 ans maintenant que je suis séparée c est toujours difficile quand je sais qu ils partent et que je n aurai pas de nouvelle pendant tout le temps de garde chez le pere. J ai des passes ou quand le manque est trop fort je vais sur un des 2 lits et sers fort leur doudous ou coussins en pleurant mais j ai décidé de ne pas me laisser abattre je me dis qu ils ont le droit de voir leur père et j essaie de profiter de ces instants de calme pour prendre du temps pour moi de faire des choses que je n ai jamais le temps de faire (bain massage,regarder un film lire un bon livre ou voir des amis sans me soucier de l heure du coucher ,…..
Je me connecte en tant que femme dans ces moments et plus en tant que mère
Ca s adoucira tout de même avec le temps car malheureusement nous n avons pas le choux
Courage
Oui on passe par ces moments difficiles mais on se rappelle que nos moments ensemble sont de qualité, parce que c’est du temps juste entre eux et nous
On gère la logistique de famille quand les enfants ne sont pas là
Et on a quitté cette vie d’avant parce qu’on était malheureuse.
Une maman heureuse donne des enfants heureux !
Des mots justes pour toutes les mamans séparées. Après deux ans, je n’arrive toujours pas à être sereine avec ma décision. Mais je peux te promettre qu’à chaque jour, cela fait un peu moins mal. Pour ma part, j’ai la chance que le père de mes enfants m’accueille tant que je le désire chez lui pour voir mes enfants. Il y a toujours un peu de positif dans chacune des situations, il est simplement dur à trouver parfois.
Honnêtement, une partie de ce que tu décrit ne passe pas…… ça fait 7 ans pour moi pis je ressens encore un grand vide quand ils sont chez papa
Ca passera croit moi j’ai passé par la ma petite avait 9 mois c’est dur mes ajd je regrette rien je suis mariée (je pensais jamais) mon mari a une fille , et on a eu une autre fille, donc 3 filles oui on a passé des hauts et bcp de bas mais ajd 20 ans plus tard la vie est belle un petit fils ❤️❤️❤️❤️ Laisser le temps passer et surtout ne vs sentez pas coupable
Message d’une maman qui a 60 ans et qui a vécu ça, il y a 33 ans. Ouf ! J’ai vécu exactement ce qui est décrit par toi Roxanne. Mais on finit par s’habituer avec le temps et on apprend à vivre avec la situation. Mais je dois être franche, ça ne se fait pas en deux temps, trois mouvements. On s’est séparé quand mon fils avait 3 ans. Quand il a atteint l’âge de 25 ou 26 ans, il nous a demander de fêter Noël, tout le monde ensemble, avec son père et sa conjointe et avec moi et mon conjoint ainsi que son frère plus jeune, qui lui, est issu de mon union avec mon 2e conjoint. Le temps ayant fait son oeuvre, nous avons tous accepté. Alors depuis environ 12 ans maintenant, nous fêtons tous les anniversaires ainsi que Noël tous ensemble. Nous avons même fait 2 voyages tous le monde ensemble pour le plus grand bonheur de mon fils et aussi de sa fille qui a mantenant 7 ans. Ça parait incroyable mais oui c’est faisable. Le seul conseil que je peux donner, c’est de toujours penser aux enfants en premier et ne JAMAIS dénigrer et parler contre son ex-conjoint devant les enfants. C’est parfois très difficile mais le bonheur et le bien être des enfants en dépend. Courage. Je ne dis pas que c’est facile mais le bonheur est possible malgré les embûches. J’en suis la preuve vivante. Je possède une magnifique famille heureuse ! Ma plus belle réussite dans ma vie, c’est ma famille !
Je me retrouve tellement dans ce texte. Je pense qu’on ne se remet jamais totalement d’une séparation. Le temps aide a panser les blessures biensure mais certaines blessures ne cicatrises jamais totalement.
J’aimerais être convaincu qu’un jour, ça ira.
Bonjour je suis de tout cœur avec toi ses des nomment difficile fait 3 ans que me suis séparer je pensai exactement comme toi en gros moi j’ai vue un spycologue sa m’a aider car on s’habitue pas à leur habssence mes de moi en moi ses plus supportable mes je ressen toujour un vide quand ma fille n’es pas avec moi je doit me dire constamment profite de se temp pour te reposer se qui es pa facil a faire mes avec le temp on es capable. Pour se qui es du temp des fête moi me suis pas enccor habituer mes bon un pas à la fois. Bonne chance à toi
Oh oui ça passera, plus vite qu’on peut le croire.
Le meilleur est à venir.
Bonsoir,
Ce que tu vis, je le vis depuis 3 ans. S’ajoute une communication rompue avec le père. Nous continuons à nous déchirer même après 3 ans. Je n’ai pas le droit de communiquer avec ma fille quand elle est chez lui. Alors quand c’est juste un week end sur 2 ça va.. mais quand c’est les vacances… je me sens tellement triste et vide. Ma fille est mon tout. J’ai pourtant refais ma vie. Mais rien y fait, ma fille a une place particulière dans ma vie, et son absence est une torture.. alors je profites quand on est ensemble… et j’apprends à profiter quand je me retrouve avec mon nouvel amoureux .
Je suis convaincue que ça passera.. mais seul le temps nous le dira.. j’ai à la fois hâte qu’elle grandisse pour ne plus devoir subir la maltraitance psychologique du père envers moi.. mais en même temps, j’aimerai garder ma fille comme ça pour toujours..
Courage.. nous ne sommes pas seules dans ce cas.. certaines ont survécu.. alors pourquoi pas nous?
Bien à toi.
Laetitia
Presque 8 ans de séparation maintenant et il m’a fallu plusieurs années avant de pouvoir « profiter » de mon temps sans mon bébé. Il a fallu apprendre à apprécier être une femme plutôt qu’une mère une semaine sur deux J’ai refait ma vie mais les Noël ou autres évènement sans lui me déchire toujours. J’ai eu un autre enfant,une petite fille et c’est souvent difficile de partager tant de chose avec elle mais pas avec mon grand.
Je ne regrette pas même s’il n’a que la moitié de sa vie avec moi elle est meilleur que se que nous lui auriont offert à deux en se déchirant
Ce sont plein de deuils à vivre; quand à Noël, tu ne les as pas, quand le premier jour d’école se passe chez papa… ça fait maintenant plus de 4 ans ici et la voir heureuse avec son nouveau demi-frère, avec « sa sœur » qui est la fille de sa belle-mère, de collaborer avec son père au lieu d’être en guerre; il y a des moments magiques comme ça où je me dis qu’on a réussit notre séparation…! Ce n’est pas parfait, mais oui ça passe… je vous souhaite beaucoup de résilience et de « zenitude »!
Merci de partager. Je me sens moins seule dans cette situation. Ma fille de 4 ans est chez son père la moitié du temps. Nous sommes séparés depuis 8 mois. Heureusement je lui permets de venir voir sa fille qd j’ai la garde et inversement ce qui est apprécié par tous. C’est tellement contre nature de devoir vivre sans son enfant qui représente tout pour nous même si on sait qu’on ne pouvait plus vivre tous les trois. Je cherche à profiter au maximum du temps avec elle et quand je ne l’ai pas d’entreprendre des projets nouveaux qui ont du sens pour me réaliser. Etre fière. Il ne faut pas vivre dans le passé mais regarder le verre à moitié plein. Courage
Presque 5 ans que je suis séparée et je vis encore très difficilement à chaque fois le départ de mon fils. Je me jette dans les travaux ménagers et les rénovations pour oublier son absence. Mon fils est toute ma vie mais je ne pouvais plus supporter de vivre avec un pervers narcissique qu’est son père. Je n’avais carrément pas le choix de me séparer alors je profite maintenant de chaque infime moment avec mon fils pour vivre de beaux moments de bonheurs simples. Il faut y aller un jour à la fois et surtout, se laisser le droit de pleurer pour passer sa peine, c’est sain et bénéfique.
Pour moi, pour ma santé physique et mentale, la séparation et les quelques jours sans mes enfants sont salutaires. Je suis presque gênée de l’écrire comme ça puisque l’idée générale que je lis c’est plutôt le contraire. Quand ils sont chez leur père… c’est du temps juste à moi, pour me ressourcer et retrouver ma patience et mon sourire pour quand ils reviennent de chez papa. Je suis une bien meilleure maman depuis la séparation que je ne l’aurai jamais été avant.
Je suis séparée depuis peu, ce n’est pas tous les jours faciles. Je n’ai pas opté pour des semaines complètes chez l’un ou l’autre. Elle va du lundi au mercredi matin chez papa et du mercredi soir au vendredi chez maman, pour les weekend, c’est un sur deux. Les choses se mettent en place doucement. Mais je pense que cela convient à tout les monde et surtout à ma fille qui se sent bien. Le temps n’est jamais très long sans la voir, 4-5 jours maximum. Quand elle n’est pas là, je m’occupe et j’essaie de faire de m’occuper des tâches ménagères, comme cela quand elle est là, je profite d’elle. Chaque situation a des bons et des mauvais côtés. Être seule quelques jours par semaine, me permets de me recentrer sur moi et mes activités, je pense que c’est une bonne chose. Comme quelqu’un l’a dit plus haut – une maman et un papa heureux font des enfants heureux.
J’ai 24 ans, maman d’une petite-fille de 16 mois…Avec le papa ça ne va clairement plus. Et quand je lis vos messages, je suis en larmes… ?
M’imaginer laisser ma fille 1 semaine (1 semaine toutes les 2 semaines.. parce que oui on en parle déjà.. et il sait le mal que ça me fait) chez son papa me rend malade… Je peux pas, je veux pas!! Je veux pas qu’elle m’oublie…
Ça semble peu 1 semaine (ou pas, parce que 3 jours ça me paraît des mois) mais quand je vous lis ça semble vraiment interminable et je n’aurais pas la force.
Mon Dieu, je suis terrifié…. ??
Si en effet la situation prend le chemin de la séparation, comment je vais faire ??
Je suis perdue, terrifiée, angoissée, démoralisé,..
Mon premier bébé, mon petit coeur, elle ne mérite pas ça, j’en suis malade.
Salut Manon ton message me touche car je suis un peu dans la même situation que toi. Cest très dur alors je t’envoie pleins de belles énergie et que vous arriviez à trouver le moyen de vous retrouver et detre heureux tous les trois. Et si c’est la séparation je suis persuadée que ton bébé t’oubliera jamais et que tu arriveras à trouver ton équilibre la dedans.
Je me souhaites la même chose mais cest plus facile d’avoir de l’espoir pour les autres
Je me retrouve dans ce que vous dites toutes.
Il y a des hauts et des bas… quand ma fille est avec moi aussi ?
J’ai la chance d’avoir rencontré un homme particulièrement bienveillant qui fait toujours ce qu’il faut pour que je garde le moral.
Passer, être moins douloureux…il faut du temps mais personne n’a de recette… cela dépend de votre personnalité, de ce que la vie vous offre d’autre, de ce que vous êtes capable de mettre en place pour vous aider à vous sentir mieux.
Le seul conseil ce serait d’essayer de prendre du temps pour vous, prendre soin de vous, vous chouchouter, faire du shopping, lire, sortir (en des temps meilleurs), bouger!
Le temps baume sincèrement ces moments incompréhensibles! La garde 7/7 n était absolument pas une option pour moi , nous faison du 3/3 ou 4/4 pour justement éviter que les départs soient trop dur , ma situation le permettait , je ne connais pas ta réalité , mais c est peut être une option intéressante ! Le seul positif qui apparaît avec le temps , est que la semaine où tu es seule tu peux penser à toi , préparer d avance la semaine avec enfants pour avoir du temps de qualité quand les enfants sont là .
Mais oui le temps diminue se manque criant xxx
Que ça fait du bien de vous lire les mamans !!! Je ne suis donc pas la seule à souffrir !!
Je ne vais malheureusement pas vous rassurer car je souffre depuis 15 ans . Mon mari et ses parents chez qui nous vivions, m’ont expulsée du domicile conjugal à la naissance de mes jumeaux pour refaire sa vie avec une amie à moi et parce que j’étais en dépression. Bonjour le réconfort hein ?!. Je me suis retrouvée seule avec un petit de 3 ans et 2 bébés d’un mois…. je me suis relevée occupée comme j’ai pu de mes 3 garçons qui voyaient leur papa malgré tout un week-end sur 2 et moitié des vacances scolaires . Mr a refait un enfant avec cette femme . Puis curieusement cette fille qui m’a volé mon mari a fait une dépression aussi et s’est mise à boire …. bizarre non !! Aujourd’hui cet homme, se réfugie encore dans les jupons de maman (50
Ans le grand garçon ?) et fous dehors sa 2 e femme !!! Car elle aussi est folle et alcoolique !!! Il est en train de tout faire pour la démolir comme il a fait avec moi . Et le pompon ?! Il veut récupérer mes enfants en garde alternée pour ne plus me payer de pension et bien entendu profiter soi disant d’eux alors qu’il ne les a pas calculés pendant 15 ans. Bref tout ça pour vous dire que je n’ai pas eu le choix et j’ai accepté la garde alternée mais je suis déchirée intérieurement et pleure toutes les semaines de les voir partir. Il a encore gagné.,,, mais c’est le juge dira que c’est pour leur bien. OK .
Alors battez-vous les mamans. Mais comprenons que même si vous avez été détruite par une ordure, vos enfants n’ont rien à voir et ont le droit de profiter de leur papa.
Oui, ça passe mais jamais complètement ….
Un peu plus de 16 ans de séparation pour moi. Nos deux garçons ont 21 et 17 ans.
Depuis je me suis remariée, j’ai une petite fille de deux ans. Mais c’est toujours difficile de voir mes fils partir pendant les vacances. Particulièrement au mois de juillet ou c’est un mois entier !
En plus, le plus grand a décidé de partir chez son père il y a quelques mois (400 km….) car il avait une opportunité boulot. Et mon cœur de maman en a pris un sacré coup ….
Bien entendu ma vie a avancé dans le bon sens partout ailleurs et je suis une femme comblée. Mais mon cœur de maman est encore parfois mis à rude épreuve notamment aux fêtes de Noël.
Bon courage à toi en tout cas
Coucou à toutes (tous). Après 8 ans de séparation on y arrive. Elle a grandit. On en discute. On s’appelle. Le positif arrive vraiment avec le temps et avec les enfants qui grandissent. Je ne suis même pas sure que nous aurions cette relation sans ces séparations. Petite c’était l’enfer. Aujourd’hui a l’adolescence on a un équilibre de fou malgré ces séparations. On a décidé mutuellement de positiver et ça marche ?. Bon courage à toutes (tous).
Bonjour,
Séparée depuis 2012, je pense que ça ne passera jamais mais j’ai appris à vivre avec et oui je le vis bien mieux qu’il y a 10 ans. Peut être que le déroulement de la séparation joue un rôle dans la manière de l’accepter. En tout cas en ce qui me concerne, cela m’a laissé longtemps un sentiment d’injustice.
Bonne continuation à toutes ☀️
Tout est dur et triste dans ces moments la seul le temps apaise cette douleur
Surtout ce qui compte c est les enfants
Ce sont eux les victimes
Courage
c’est exactement ça….
Je crois que ça ne passera jamais…. tellement triste de ne pas leur offrir la meilleure enfance avec Maman et Papa …courage
Magnifiquement juste !
Ça passera…
Oui, ça passera ! <3
Le meilleur est à venir !
Promis !
Malheureusement sa ne passera jamais,chaque nuit j entends les pleurs de mon fils,les bip des machines en soins intensif,je ne peux plus aller dans un hôpital,mon fils Jules avait 3mois pile quand il et décédé dans mes bras cela fait 3ans j ai eu de nouveau un fils âgé de 20mois qui se prénomme gabin mais la douleur et toujours là je suis sous antidépresseurs tout les jours chaque nuit je pleure son absence .
Moi qui suis passé par là, je te le dis : oui. Ça passe.
Avec le temps, les mauvais moments disparaissent pour ne laisser la place qu’aux moments magiques.
Courage.
Si le père était un être abjecte, immorale et/ou violent, et/ou que c’est lui.qui est parti alors oui je te promet que ça passera.
Si tu est parti juste parce que ta vie ne te convenait pas, et que tu a préféré tout laisser se détruire plutôt que de te battre jusqu’à réussir (oui oui c’est possible), alors malheureusement la culpabilité te rongera et ce sera mérité.
Tu aura fait passé ton bonheur avant le leur, tu a pensé à toi, en te disant que si tes enfants et ton conjoint souffrent, c’est pas si grave tant que toi tu es heureuse.
Bercé par des amies qui prônent le « mieux vaut être séparé que de se déchirer » sans savoir qu’un couplé ça peut se réparer et se renforcer si les deux le souhaitent.
Dans ce cas, égoïsme absolue, véritable trahison envers ceux qui t’aiment, tu mérite ton sort et malheureusement ce ne serait pas suffisant pour payer tout les rêves que tu a brisé.
Tu pourra toujours te gargariser d’être une femme libre et indépendante, mais au fond de toi tu saura qu’en réalité tu n’a été qu’une lâche qui a préféré changer de navire plutôt que de réparer celui qui contenait tes enfants et leur père…
Je suis un père qui a été abandonné alors qu’il avait tout donné. Un mariage et deux enfants en bas âges, Les seules raisons qui sont valable pour détruire une vie de famille : violence physique ou psychologique. Dans ce cas, je te dit bravo d’en avoir eu le courage. Et dans ce cas là, je te confirme que ça passera.
Bonjour,
Quand je t’ai lu je me suis retrouvée il y a 12 ans. Perso le weekend où je n’avais pas mes enfants, je dormais pour ne pas voir passer le temps. Ça ne me reposait pas plus que ça. Et puis il y a eu le premier Noël… Des amis m’ont invité à le passer avec eux, j’ai refusé et le 24 au soir ils sont venus me chercher chez moi et m’ont poussé à venir. Et finalement ça m’a fait penser à autre chose. Et puis petit à petit, le weekend j’ai pris l’habitude d’inviter des amis à la maison ou d’accepter les invitations. Au début je me suis sentie un peu coupable de m’amuser sans les enfants, mais finalement eux s’amusaient de leur côté. Au début lors de leur retour ils me faisaient bien comprendre que j’aurai dû les attendre pour inviter du monde à la maison. Du coup on a passé un marché, si un weekend j’invitais quelqu’un le weekend d’après je refaisait le même repas avec les mêmes personnes et avec eux. Ils ont finalement compris que j’avais aussi besoin de me changer les idées de mon côté. Courage.
Très touchant votre texte.
Malheureusement, pour répondre à votre question,, non, ça ne passe pas.
Ça fait dix ans que je me suis séparée du père de mes deux filles, elles avaient 10 et 11 ans à l’époque donc, et j’ai toujours cette culpabilité. La séparation fut très difficile avec leur père. Ça a été très douloureux, surtout les trois premières années où elles ne me parlaient plus. Rien que d’y repenser ça me tord l’estomac.
Aujourd’hui, ma relation avec chacune d’elles est très différentes de celles que j’avais rêvé. Il y a cette fêlure que je ne peut pas réparer. Tout ces moments importants dans leurs vies où je n’était pas présente. Leur sentiment d’abandon, entretenu par leur père et leur grand-mère paternelle, n’aide pas.
Si j’avais su, j’aurais essayé de faire les choses différemment, pour elles.
C’est tellement ça !!!
Et même encore plus…
Surtout quand ils sont tous petits et quand il y a eu une maîtresse dans l’histoire.
Bonjour
En lisant ce texte je ne peux m’empêcher de faire le lien avec ce que je pratique: l’accompagnement de la perte et du deuil.
Au travers du processus de deuil en spirale, c’est tout le cheminement à la fois universel et individuel qui décrit comment on arrive à passer du ressenti « A cause de… » au ressenti « Grâce à… »
Merci pour ce texte que je viens de lire à la sortie d’une visio où je partage cette démarche en ligne pour aider ceux qui le souhaitent à en faire une ressource dans leurs accompagnements. Aujourd’hui c’était avec un médium! Si cela pour parle je peux vous proposer quelques heures pour en parler.
Bonne journée et encore merci.
Guy