Malgré la vie qui va vite, tu me permets de tenir bon, mon enfant.
Quand tu apparais sur le coin de mon lit à 5h30 et que tu me regardes les yeux pleins d’étoiles comme si ton compteur était remis à zéro chaque jour, tu me rappelles à quel point la vie peut être simple quand on choisit de la voir ainsi.
Malgré la fatigue, tu me permets de tenir bon, mon enfant.
Quand, sans y pense, tu me fais un câlin en me disant «je t’aime maman», tu me rappelles à quel point c’est simple d’aimer et d’être aimé.
Malgré les tracas de la vie, tu me permets de tenir bon, mon enfant.
Quand la joie te submerge en me montrant fièrement ton dessin fait à la garderie, tu me rappelles à quel point, il faut profiter des petites choses de la vie et arrêter de s’en faire.
Malgré le temps qui nous manque, tu me permets de tenir bon, mon enfant.
Lorsque tu me regardes avec tes yeux brillants et ton sourire comme si ça faisait six mois qu’on ne s’était pas vus au retour de la garderie, tu me rappelles qu’il est bon de prendre une pause pour voir tout le bonheur qui nous entoure.
Malgré tout ce qui peut arriver, tu me permets de tenir bon, mon enfant.
Parce que tu es là, parce que tu es toi, parce que tu es tout. Parce que tu es mon petit bonheur.
Je t’aime.
Maman
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