Mon amour,
Avant de te rencontrer, je ne croyais pas à la notion du « bon », du chum idéal, que quiconque pourrait un jour me compléter parfaitement. J’essayais de me convaincre que j’allais travailler sur mon couple et ramer fort pour avancer. Puis, je t’ai rencontré. Et j’ai su. J’ai su que l’amour, le vrai, était à la portée de tous – même moi. J’ai réalisé que depuis mon jeune âge, j’avais simplement cogné aux mauvaises portes, regardé dans la mauvaise direction, cherché au mauvais endroit.
Je sais que tu es le bon, parce que tu as été patient. Tu n’avais pas de mauvaises intentions, tu n’as pas essayé de me charmer pour ensuite me larguer comme certains de tes prédécesseurs l’avaient fait. Au contraire, tu as su, toi, que le jeu en valait la chandelle. Qu’au final, quelques mois ou mêmes quelques années d’attente en vaudraient largement le coup.
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Je sais que tu es le bon, parce que je ne vois que toi. Que ce soit dans mes rêves, mes projets ou au quotidien. Tu es au centre de ma vie, tu es le seul qui habite mes pensées. Je ne peux imaginer mes passions, mes voyages, mon futur sans toi avec qui les partager. Je me vois vieillir à tes côtés, paisiblement, passionnément, amoureusement.
Je sais que tu es le bon parce qu’ensemble, nous attrapons chaque petit bonheur que la vie nous apporte. Le rire fait partie de notre menu, autant que les baisers avant nos aurevoirs et les accolades après nos retrouvailles. Chaque jour passé avec toi est une fête que je célèbre et qui emballe mon coeur. Tes touchers à la volée, tes sourires en coin, tes mains qui connaissent mon corps par coeur me font encore et toujours frissonner de plaisir.
Je sais que tu es le bon parce que tu m’épaules. Tu sais quand j’ai besoin de toi, même avant que je n’ose te le demander. Ta présence physique et morale est sincère. Tu veux tant mon bonheur et ça me fait pleurer juste d’y penser. Ensemble, nous pouvons tout affronter. Et malgré nos opinions divergentes, on se respecte toujours. Quand l’un a mal, l’autre souffre aussi.
Avant de te rencontrer, je ne croyais pas aux contes de fées. Mais force est d’admettre que j’ai finalement trouvé mon prince, celui qui me donne des papillons chaque jour, qui rend l’amour à la fois si simple et si grand.
Je t’aime.
Comme c’est beau! Je n’ai pas rencontrer l homme de ma vie encore mais suite à quelques rencontres depuis ma séparation je comprend cette belle histoire. Je ne croyais pas aussi aux contes de fée mais force est d admettre que le vrai amour existe. Un amour pur sans restriction mais avec respect d autrui. Je sais maintenant que nous pouvons tous vivre ce moment.