Je ne suis pas ta mère.
Bien que je représente pour toi une figure parentale, je ne suis pas celle qui t’a portée. Je ne suis pas celle qui t’a donné naissance. Je ne suis pas celle qui s’est levée pendant des mois, entrecoupant ainsi mes nuits de sommeil pour prendre soin de toi et répondre à tes besoins.
Je ne suis pas ta mère et je ne le serai jamais.
Je suis celle qui joue le rôle ingrat de ta belle-mère. Cette belle-mère qu’on aime détester depuis des lustres. Celle qu’on dépeint avec si peu de nuances dans les contes pour enfants. Celle qu’on noircit et que l’on juge avant même de connaître ses intentions.
Les miennes sont pourtant bonnes. Je t’assure qu’elles sont emplies de bonne volonté. Elles émanent de mon désir profond de faire une différence positive dans ta vie. Elles prennent naissance dans cet amour infini que je voue à ton père et pour lequel, je serais prête à affronter mers et monde.
Je ne suis pas ta mère et je ne le serai jamais.
Mais sache que je serai là. Pour tenter de te maintenir sur la voie du respect. Des autres, mais aussi du tien. En te donnant subtilement l’exemple. Je serai là pour t’écouter si un jour tu souhaites mon oreille attentive. Je serai là aussi, si un jour, tu me demandais conseil. Je serai là, pour toi. Peu importe la tempête que tu affronteras, peu importe que tu souhaites ou non ma présence. Je serai là si tu as besoin que je le sois. Dans l’action ou dans l’inaction. Silencieusement ou non.
Je ne suis pas ta mère et je ne le serai jamais.
Mais je me suis promis d’agir envers toi comme je souhaite que la belle-mère de mes propres enfants agisse envers eux. En les entourant d’amour et de bienveillance. En agissant comme une mère lorsque je ne suis pas auprès d’elles. Pour qu’elles sachent qu’elles ne sont jamais seules et que toujours, près d’elles, se trouvent des adultes aimants et soucieux de leur bonheur et de leur sécurité.
Je ne suis pas ta mère et je ne le serai jamais.
Mais je souhaite que tu saches que ta belle-mère t’aime sincèrement même si je ne t’ai pas mise au monde. Même si je n’ai pas goûté à ta petite enfance. Même si je n’étais pas auprès de toi lorsque tu t’es éveillée à la vie. Tu fais maintenant partie de ma vie et de ma famille et je suis heureuse qu’il en soit ainsi.
Tu n’es pas ma fille et tu ne le seras jamais. Tu es ma belle-fille. Avec tout ce que ça implique de défis et d’ajustements. Je ne t’ai pas choisie, mais malgré tout, sois certaine que je me battrai à tes côtés si tu me le demandais.
Je ne suis pas ta mère et ne le serai jamais, mais n’oublie pas que je serai, malgré tout, toujours là pour toi.
Bravo a toi, pour ce beau texte.
Pendant 27 ans j’ai été et je suis encore une belle mère.
J’ai donné beaucoup d’amours a des enfants qui n’étaient pas et ne sont jamais les miens.
Ils ne sont pas les miens mais l’amour est aussi fort.
Il y a une place pour tout le monde dans la vie même si cette vie est parfois Une montagne russe d’émotions.
Ce n’est Pas toujours facile mais quand il y a le respect il y a de l’amour!
Je comprend maintenant Suzanne qui prenait soin de Nelson en tant que belle mère. Tout comme toi francesca. J’ai eu des idées noires face à Suzanne et elle a bien reussi avec Nelson malgré tout. J’avais tellement de haine envers elle que jene voyais pas tout le beau quelle a fait. Jespere qu’elle me pardonnera avant que je parte pour le long voyage. Merci
Bonne anniversaire chère belle-fille!
Tu n’es pas oublié, je te portes sur mon cœur
GOD BLESS YOU!
En ce jour spécial Dieu a en réserve tant de bonnes chose pour toi
IL suffit de lui ouvrir ton cœur et, il peut faire en toi de grandes choses bien au-delà de ce que tu penses et lui demande éphésiens 3;20
Tendrement…Belle-maman!
c’est beau, j’aimerais que toute les mamans et belle-mamans soient comme ça