Être une maman qui jongle entre les livres d’école et le travail, c’est avoir trois quarts de travail différents chaque jour.
C’est devoir avoir autant d’énergie qu’un super héros pour travailler, étudier, élever et éduquer ses petits humains.
C’est se lever beaucoup trop tôt le matin, se coucher beaucoup trop tard, s’endormir en pensant à mille et une choses et espérer pouvoir faire une nuit complète sans que les petits se réveillent.
C’est être stressée d’arriver à l’heure à son cours de huit heures puis l’être à nouveau d’arriver en retard à son shift à cinq heures tout en n’oubliant pas de passer récupérer son petit à la garderie.
C’est s’ennuyer de ses enfants tout le temps.
C’est de se demander régulièrement si son retour à l’école est égoïste tout en souhaitant ardemment inculquer à ses enfants de poursuivre leurs rêves, d’aller toujours plus loin.
C’est faire la fille forte.
C’est de jouer la comédie et prétendre que tout est sous contrôle tout en ayant envie de craquer tout seule dans le bain le soir venu.
C’est être épuisée tout le temps et avoir l’impression constante de ne pas en faire assez tout en faisant l’impossible chaque jour.
C’est de s’en vouloir régulièrement, comme toutes les autres mamans.
C’est de rêver du jour de la remise des diplômes pour pouvoir enfin profiter de ses petits qui grandissent.
Mais c’est aussi et surtout de constater à quel point les efforts en valaient la peine au bout du chemin.
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