Voici tous ceux à qui je n’ai pas envie de souhaiter joyeux Noël :
• À ma belle-famille, qui n’est jamais là quand on en a vraiment besoin
• À ta face de c*l quand je t’ai demandé où se trouvait le lait de coco
• Au monsieur qui m’a engueulée devant mes enfants dans un stationnement
• À mon boss qui me demande de travailler pendant mes vacances
• À ma collègue qui se permet de critiquer ouvertement ma compétence au travail , sans même connaître mon rôle
• À toi, toujours plus pressé et important que les autres, qui méprises les règles sociales au centre d’achats
• Au policier qui m’a donné une contravention (même si elle était méritée)
• À l’ost*** de gastro à m***
• Aux parents qui croient que les vacances et le temps de correction des profs sont payés, grassement à part ça
• Aux satanés lutins coquins
• À la personne qui a eu et propagé l’idée desdits lutins coquins
• À l’infirmière qui a brassé mon garçon hospitalisé, pendant ma seule nuit d’absence
• À mon conjoint qui a tout bonnement baissé les bras devant les difficultés qu’on aurait dû supporter ensemble
• À la blonde de mon ex, qui me discrédite devant mes enfants
• À mon portefeuille, qui peine à supporter mes bonnes idées
• À toi, qui te crois seul sur la route – TU ES UN DANGER PUBLIC, ALLUME
• À tous ces sacs de chips et autres gourmandises, trop vite finis et qui ont gonflé mon tour de taille
À votre façon, vous avez tous malheureusement marqué mon année.
Malgré tout, je vous souhaite sincèrement un peu d’amour, surtout en cette période de réjouissances.
Et à tous les autres, je lève mon verre à votre santé et vous accorde mon entière reconnaissance de faire partie de ma vie de la façon remarquable qui est la vôtre.
Joyeux Noël. Ou pas.
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